STEFANO DI BATISTA QUINTET

STEFANO DI BATISTA QUINTET
SAMEDI 15 SEPTEMBRE - 20H30 - ALPILIUM

Stefano Di Battista saxophone
Flavio Boltro
trompette
Éric Legnini
piano
Rosario Bonaccorso
contrebasse
André Ceccarelli
batterie

 

Stefano Di Battista
Italien dans l’âme, fougueux forcément et enjôleur assurément, le saxophoniste Stefano di Battista s’inscrit haut dans la lignée des grands altistes qui raffolent des temps intrépides.
Fils naturel de Charlie Parker ou de Cannonball Adderley, le romain impétueux fut partenaire de Michel Petrucciani et d’Elvin Jones avant de voler de ses propres ailes, le plus souvent avec son complice de toujours, le trompettiste Flavio Boltro. Profondément marqué par le feu parkérien, Stefano di Battista est un gardien talentueux du be bop et du hard bop moucheté de son lyrisme personnel.
"… Son sens de l’attaque, la puissance de sa sonorité, l’évidente générosité qu’il met à jouer, son sens du phrasé auquel ne manque jamais le vertige du risque, la musique qui parle en lui comme un flot, tout ce qui rend le saxophoniste italien irrésistible… ".
Vincent Bessières. Jazz MagazineNé en 1969, Stefano di Battista a commencé à jouer du saxophone à l'âge de 13 ans dans une petite formation de son quartier, à Rome. Lorsqu'il rencontre son aîné Massimo Urbani, sa passion pour le jazz devient carrière. Autre rencontre, autre pas décisif : il se lie d'amitié avec le Français Jean-Pierre Como en 1992, lors d'un festival en Corse. Il débarque alors à Paris et se fait rapidement un nom, devient un pilier du club le Sunset en accompagnant Aldo Romano, Stéphane Huchard et Michel Benita.
Dès 94, il rejoint l'Orchestre National de Jazz dirigé alors par Laurent Cugny, puis le sextet de Michel Petrucciani. Trois ans plus tard, la presse salue l'artiste lorsqu'il sort ses premiers disques (chez Label Bleu et le label mythique Blue Note). Sa musique comme son jeu sont empreints d'une grande générosité et d'une belle énergie, ce qui rend son jazz très séduisant, d'autant plus que son quintet est constitué de musiciens de premier choix : Flavio Boltro (trompette), Éric Legnini (piano), Rosario Bonaccorso (contrebasse), André Ceccarelli, (batterie) sont tous parfaits.
Fortement inspiré par les grands classiques des 50's et 60's du label Blue Note, ce saxophoniste italien, au son chaleureux, développe un style néo hard bop. Ce style résulte d'un engagement total, fusion de fougue et de générosité. Stefano met toute son énergie faite autant de vitesse et de virtuosité que d'innovation au service d'une émotion propre à ses racines, à sa terre natale.
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Flavio Boltro

Débuts
Flavio Boltro est né dans une famille de musiciens. Son père est trompettiste et amateur de jazz. Il commence à jouer de la trompette à 9 ans et à 13 ans, il entre au conservatoire national de musique classique de Turin G. Verdi. Il y étudie la trompette classique pendant sept ans et notamment, avec le trompettiste de l'Orchestre symphoniquede Turin Carlo Arfinengo. À 19 ans, il remporte le premier prix de trompette classique du Conservatoire, mais renonce à un poste fixe au sein de l’Orchestre Symphonique de Turin, préférant le jazz.

Les années italiennes
Il commence à jouer professionnellement avec Steve Grossman et en quintet avec Cedar WaltonBilly Higgins etDavid Williams dans des clubs et des festivals d’envergure internationale.
À l'âge de 25 ans, il intègre le « Linguomania Quintet », avec Roberto Gatto à la batterie, Furio Di Castri à la contrebasse, Maurizio Giammarco au saxophone et Umberto Fiorentino à la guitare. Il joue ensuite aux côtés de musiciens comme Freddie HubbardClifford Jordan ou Jimmy Cobb.
Une autre formation est déterminante pour son parcours musical : le trio avec Manu Roche à la batterie et Furio Di Castri à la contrebasse, qui s'est transformé ensuite en quartet avec l'arrivée de Joe Lovano. En 1984, il est élu « Meilleur talent » par la revue italienne Musica Jazz.

Les années françaises
En 1994, Laurent Cugny choisit Flavio Boltro et son ami Stefano Di Battista comme trompettiste et saxophoniste de l’Orchestre national de jazz. C'est ainsi qu'il s'installe à Paris.
En 1996, Michel Petrucciani le repère et l’engage dans son sextet, où il restera jusqu'à la mort du pianiste en 1999. Cette rencontre va être déterminante dans sa carrière.
En 1997, il est membre du quintet de Stefano Di Battista, avec Éric Legnini au piano, Benjamin Henocq à laBatterie (musique) et Rosario Bonaccorso à la basse.
En 2000, il entre au sein du Quintet de Michel Portal où il restera jusqu'en 2005.
En 2003, Flavio Boltro monte un quartet avec Éric Legnini, Rémi Vignolo et Franck Aghulon. Il enregistre l'album 40 degrés chez Blue Note Records et écume les festivals français et italiens.
Fin 2003, il participe au Trio AIR avec Giovanni Mirabassi au piano et Glenn Ferris au trombone (instrument). L'album AIR remporte le prix du meilleur de disque de l'année 2003 décerné par l'Académie du Jazz. Le trio continue de se produire de temps en temps.
En 2007, le chanteur populaire italien Gino Paoli réalise son rêve : monter un groupe de jazz. Il s'entoure de Flavio Boltro et Roberto GattoRosario BonaccorsoDanilo Rea. Le groupe enregistre 2 albums Milestones chez Blue Note Records en 2007 et Un incontro in jazzParco della musica à Rome en 2001. Depuis, le groupe se produit sur les plus grandes scènes d'Italie et d'Amérique latine.
En 2011, le label allemand Act Music propose à Flavio Boltro d'enregistrer des grands airs d'opéra italiens. Il choisit Danilo Rea car tous deux ont une solide formation classique. L'album Opera est enregistré en deux jours à Shloss Elmau. Le groupe se produit aujourd'hui dans les théâtres d'Europe et en Asie (Japon, Corée du Sud).
À la recherche de l'esprit des extraordinaire années 1960 et en hommage au trompettiste Lee Morgan, Flavio Boltro monte un nouveau quintet en 2012 : Joyful, un quintet All stars composé de l'italien Rosario Giuliani au sax, Pietro Lussu au piano, d'André Ceccarelli et de Darryl Hall à la rythmique. Côté vocal, il fait appel à Alex Ligertwood, un des chanteurs du groupe de Carlos Santana.
Flavio Boltro s'impose aujourd’hui comme l’un des solistes les plus influents de la scène européenne.
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Éric Legnini
C’est au milieu des années 90 qu’on remarqua soudain, au sein du bouillonnant quintet de Stefano Di Battista, ponctuant, enrichissant, attisant sans relâche le discours volubile et enflammé du saxophoniste alto, un jeune pianiste aussi discret que talentueux : Eric Legnini. Un style direct et généreux trempé dans l’âme noire du piano jazz ; un phrasé riche, à la fois raffiné et sensuel, toujours porté vers le chant, la voix, la mélodie ; une aptitude au swing exceptionnelle, servie par une rigueur et une sobriété dans la mise en place rythmique digne des grands maîtres du hard bop — il ne fallut que peu de temps à Legnini pour s’imposer comme le régulateur indispensable des humeurs de l’orchestre de Di Battista et devenir l’un des sidemen les plus recherchés par les musiciens gravitant autour de la rue des Lombards.
Fin 1993, c’est le grand saut. Di Battista et son orchestre partent à la conquête de la Capitale. Un répertoire séduisant, résolument hard bop ; une fougue, un talent et une joie de jouer particulièrement communicatifs : il ne leur faut que quelques mois pour enflammer les esprits et gagner leur pari. Aldo Romano les remarque, les prend sous son aile : le succès est fulgurant. Un premier disque « Volare » en 1997 pour Label Bleu, unanimement salué par la critique, finit d’établir ce tout jeune quintet comme « le nouveau groupe dont on parle »…
Fin 1993, c’est le grand saut. Di Battista et son orchestre partent à la conquête de la Capitale. Un répertoire séduisant, résolument hard bop ; une fougue, un talent et une joie de jouer particulièrement communicatifs : il ne leur faut que quelques mois pour enflammer les esprits et gagner leur pari. Aldo Romano les remarque, les prend sous son aile : le succès est fulgurant. Un premier disque « Volare » en 1997 pour Label Bleu, unanimement salué par la critique, finit d’établir ce tout jeune quintet comme « le nouveau groupe dont on parle »…
Depuis, Eric Legnini poursuit son travail de compositeur, réalisateur d’albums (Kellylee Evans...), joue au sein de groupes all star comme le quartet avec Manu Katché, Richard Bona et Stefano di Battista ; il crée également à Jazz à la Villette en septembre 2014 un programme autour du mythique album de Ray Charles “What’d I say” (avec les voix de Sandra Nkaké, Alice Russell, Elena Pinderhughes), dirige le projet “Jazz à la Philharmonie” en février 2015 avec un groupe composé de 10 musiciens parmi lesquels Joe Lovano, Jeff Ballard, Ambrose Akinmusire, Stefano di Battista...
2017 marque le grand retour d’Eric Legnini sur disque en leader : Waxx Up sort au printemps et sera le troisième volet du triptyque consacré à la voix et initié avec l’album “The Vox” en 2011. Il convie son trio (Franck Agulhon à la batterie et Daniel Romeo à la basse électrique) ainsi que des cuivres et des voix : Yael Naïm, Charles X, Mathieu Boogaerts, Michelle Willis, Hugh Coltman ou encore Natalie Williams.
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Rosario Bonaccorso
En 1960, la famille Bonaccorso s'installe à Imperia, en Ligurie, où Rosario, à l'âge de seize ans, a commencé à jouer de la basse électrique et faire ses premiers pas dans l'environnement musical. C'est à ce stade que le désir de jouer de la contrebasse arrive à maturité et que l'artiste commence à s'intéresser au jazz, dont il tombe profondément amoureux. Le moment est intense et fertile, séduisant les styles de ceux qui ont retracé l'évolution du langage contrebassiste contemporain: Ron Carter, Charles Mingus, Oscar Pettiford, Paul Chambers, Ray Brown, Charlie Haden…
Mais c'est la maturité musicale qui l'amène à développer son propre style: basé sur la tradition des grands bassistes de la musique afro-américaine, Rosario Bonaccorso crée un nouveau modèle artistique, personnel, omniprésent, issu non seulement de la revisitation des classiques mais aussi de leur réinterprétation. une verve intellectuelle et passionnée, en même temps.
Pour confirmer cela, trente-cinq ans de collaborations, d'enregistrements et de concerts sur les scènes du monde entier aux côtés de centaines d'artistes américains et européens du calibre d'Elvin Jones, de Billy Cobham, de Pat Metheny, de Michael Brecker, de Stefano Bollani, Joe Lovano, Mark Turner, Gato Barbieri, James Moody, Lee Konitz, Steve Wilson, Ivan Lins, Dianne Reeves, Adrienne West, Clark Terry, Jon Faddis, Charles Tolliver, Franco Ambrosetti, Kenny Davern, Bob Wilber, Tony Scott, Slide Hampton , Kenny Barron, Jacky Terrason, Cedar Walton, George Cable, Ralph Sutton, Jimmy Cobb, Albert «Tootie» Heath, Vernel Fournier, Naco, Aldo Romano, Dede Ceccarelli, Tommy Campbell, Sangoma Everett, Tullio de Piscopo, Luis Nash, Herlin Riley, Adam Nussbaum, Antonio Sanchez et beaucoup d'autres artistes ...
Collaborations innombrables avec des artistes italiens; de 1997 à 2007, il a travaillé régulièrement dans le Quartetto di Stefano de Battista en jouant plus de cinq cents concerts en Europe et en touchant des destinations prestigieuses dans le monde telles que Paris, New York, Tokyo, Montréal, Buenos Aires; Pendant dix ans, il a joué dans les groupes d'Enrico Rava, ainsi que dans le projet Un Incontro in Jazz avec Gino Paoli, Rava, Boltro, Rea, Gatto; et encore dans les groupes d'Eric Legnini, Roberto Gatto, Dado Moroni, Francesco Cafiso ...
Ce sont quelques-uns des grands noms avec lesquels Rosario Bonaccorso a été et est encore occupé, enregistrant plus de soixante CD pour de grandes maisons de disques telles que: ECM, JANDO MUSIC-VIA VENETOJAZZ, PMR, BLUE NOTE, LABEL BLEU, VERVE, UNIVERSAL des scènes internationales comme New York, Tokyo, Paris, La Scala à Milan, l'Auditorium de la Musique à Rome, le Statt Opera à Vienne.
Rosario Bonaccorso est apprécié pour son esprit musical communicatif, immédiat, ainsi que pour une forte créativité et sa solide connaissance de la tradition. La qualité qui transparaît dans la figure spécifique qui sait comment impressionner la section rythmique et qui en fait l'un des bassistes les plus populaires au fil du temps. Ensuite, il y a le trait d'un esprit original d'improvisation qui a un sommet expressif significatif dans l'union stylistique et émotionnelle entre le son de sa voix et celui de son instrument.

"... Un magnifique enregistrement en trio du contrebassiste Rosario Bonaccorso, en compagnie de Fabrizio Bosso à la trompette et Roberto Taufic à la guitare. Un disque splendide qui parle droit au coeur ... " (Jazz Music - Luca Conti)

Mars 2015 sort l'album " VIAGGIANDO" produit par Jando Music et Via Veneto Jazz. A côté de lui, de grands noms du jazz international, l'italien Fabrizio Bosso, l'argentin Javier Girotto et le brésilien Roberto Hasbun Taufic. Un vrai Quartet Overseas joue une musique qui voyage entre les lieux du monde et les lieux de l'âme, grâce à la force innée de l'écriture mélodique et aux recherches attrayantes sur la forme sur laquelle il travaille depuis des années et qui restent les points forts de la composition du contrebassiste Rosario Bonaccorso.
".. Tout le disque exprime une énergie solaire ... un groupe très soudé, un son acoustique merveilleux et des arrangements délicieux décrivent les quatorze voyages qui composent la collection, qui est entendu légèrement dans un souffle
." De : JAZZ IT- 2015

En Janvier 2017, la sortie du nouveau CD "A Beautiful Story" avec à ses côtés trois jeunes stars du jazz italien: Dino Rubino (tp) Enrico Zanisi (pn) Alessandro Paternesi (dr)

Quelques extraits de critiques de CD:

"... L'élégant contrebassiste Rosario Bonaccorso, considéré par les initiés comme l'un des plus grands virtuoses italiens de son instrument, propose dans cet ouvrage (publié par le label romain Parco della Musica Records) un itinéraire esthétique et compositionnel d'une grande beauté. Le groove large et rond de Bonaccorso, pour un autre dense avec une expressivité poétique, est divisé en une séquence de onze morceaux dans lesquels la progression habituelle et raffinée de sa contrebasse décrit des souvenirs, des images, des émotions ... "

".. Pour cette" Sur la route "est certainement une nouvelle pièce à ajouter à la brillante carrière de Rosario Bonaccorso, en tant que leader, trouve une nouvelle consécration de ce calibre artistique, déjà honoré dans le rôle de sideman de luxe aux côtés de nombreux champions italiens et internationaux. En conclusion, ce travail peut être considéré, à juste titre, comme un point de rencontre entre composition et improvisation, dans lequel Bonaccorso et ses partenaires parviennent à teindre, avec la classe due, une transversalité intelligente entre genres, styles et formes ... "( Francesco Peluso FDS 195 - Disques Jazz)

"... Le voyage du contrebassiste et compositeur Rosario Bonaccorso continue,et démontre une maturité expressive, la coloration des nuances inattendues un équilibre bien établi entre la composition et l'improvisation ..." ( PO L'Unità)
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André Ceccarelli
Il fait ses débuts dans le groupe Les chats sauvages en 1962. En 1964 il intègre l’orchestre du Casino du Sporting Club de Monaco, d’Aimé Barelli. 
"Le tempo, fiston, garde le tempo !". Ce conseil que lui donnait son père, Andre Ceccarelli l’a toujours en mémoire. Mieux, il le connaît sur le bout des doigts., Dédé dégage toujours la joie de jouer qui habitait le jeune batteur montant à Paris pour faire ses premières armes.
Il débute réellement sa carrière dans les années 60. Après un passage dans l’orchestre d’Aimé Barelli à Monaco, il s’impose vite comme un excellent batteur de jazz sur les scènes italiennes et françaises. En parallèle à sa carrière de jazzman, il devient un musicien de studio incontournable dans les années 70 et 80. Pendant plusieurs années il enregistre de 9 heures du matin à minuit, tous les jours, ou presque. " A l’époque, on enregistrait parfois un 33 tours en une journée" précise André qui a enregistré plus de 1000 disques.
"Dédé" devient vite une figure majeure du jazz et de la musique française. En 1993 il obtient la victoire de la musique ainsi que le Django d’Or pour l’Album "Hat. snatcher". Et vous comprendrez pourquoi dès 1998, la Sacem lui décernait son Grand Prix du Jazz pour l’ensemble de sa carrière.
Le talent d’André ne passe pas inaperçu et dans les milieux du jazz on a pris l’habitude de dire qu’on ne le présente plus... Et pourtant, une liste s’impose d’elle-même : celle de ses collaborations nombreuses et fructueuses avec le plus grands. Du jazz, du rock, de la variété, de la soul music... :
Stan Getz, Dexter Gordon, Chick Corea, Michel Jonasz, Didier Lockwood, Dee Dee Bridgewater, Michel Legrand, Charles Aznavour, Martial Solal, Henri Salvador, Tina Turner, Michel Portal, Lou Bennett, Maurane, Sylvain Luc, Bireli Lagrene , Stefano Di Battista, Claude Nougaro, Richard Galliano , Brad Mehldau…
Aujourd’hui Dédé, batteur et compositeur, tient toujours le tempo dans de multiples projets. Le Trio Sud avec ses acolytes Sylvain Luc et Jean-Marc Jafet.
Il a aussi pris la tête d’un nouveau quartet pour rendre hommage à son ami disparu : Claude Nougaro, dans ’Le Coq et La Pendule’.
Et puisque, chez les Ceccarelli le bonheur de partager la musique a commencé en famille, c’est avec grand plaisir que Dédé est monté sur scène avec le projet "Ceccarelli Familly", accompagné de son père, son frère et son fils (tous batteurs), ainsi que de nombreux amis.
Ouvert sur les autres, sur les présents, les futurs du jazz, Dédé n’en finit plus de faire respirer la musique. Et avec sa gentillesse et sa discrétion, il nous rappelle que les plus grands sont aussi, souvent, les plus humbles.
André, dit "Dédé", le surdoué a joué avec les plus grands : de Stan Getz, à Didier Lockwood, en passant par Dee Dee Bridgewater et même Tina Turner, il est aujourd'hui considéré comme l'un des plus grands batteurs de jazz au monde.


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